180.000 km2 d’espaces de conservation sont aménagés (dotés des infrastructures, des équipements, de la logistique et du personnel nécessaire à leur gestion). Un mécanisme de concertation entre tous les acteurs – piloté par l’administration ou l’institution de tutelle – mis en place au niveau de chaque territoire d’intervention pour faire de la conservation un moteur du développement local. Des actions de développement rural adaptées au contexte d’intervention et basées sur la valorisation des biens et services offerts par les espaces de conservation sont mises en oeuvre de manière adaptée à chaque site d’intervention (eco-tourisme, chasse communautaire et sportive, foresterie communautaire, renforcement des capacités locales de gestion de fonds de développement). Des plans d’aménagement du territoire intégrant conservation et développement rural sont disponibles et des stratégies et partenariats sont établis pour leur mise en oeuvre. Des écosystèmes sont mieux connus en vue de leur meilleure gestion et valorisation au profit des populations locales.

Le RAPAC; organe de COMIFAC pour la mise en réseau des gestionnaires des aires protégées en Afrique Centrale est pleinement opérationnel. L’appui au processus de concertation sectorielle multibailleur dans le cadre de la PFBC ; Des lignes directrices produites par RAPAC pour l’harmonisation des législations nationales de gestion des Aires protégées et de leurs territoires périphériques. Un centre de ressources (clearing house mechanism) mis en place en Afrique Centrale sur les problématiques de la conservation et de l’utilisation durable des écosystèmes forestiers. Un financement de la conservation mieux garanti sur le long terme dans le cadre d’un partenariat sous régional entre les Organisations régionales de référence, les Etats, le secteur privé, la société civile et les partenaires au développement. Les Aires Protégées membres de RAPAC sont effectivement valorisées et promues sur le plan international. La dimension socio-économique de la conservation des ressources naturelles en Afrique Centrale est mieux connue et intégrée dans le processus de suivi et monitoring de la gestion des Aires protégées. Des capacités institutionnelles de gestion des ressources forestières renforcées.Des capacités institutionnelles de gestion des ressources forestières renforcées. Des expériences pilotes de lutte contre l’exploitation illégale des forêts sont mises en oeuvre et aboutissent à l’établissement d’au moins un accord de partenariat volontaire entre un pays d’Afrique Centrale et l’UE dans le cadre du plan d’action FLEGT pour s’assurer de la légalité de l’origine des bois importés par l’UE.