Dans le cadre du projet précédent, les acteurs de la société civile ont acquis le savoir-faire nécessaire pour participer de façon constructive aux rapports de l'EITI. Ceci a contribué à une nette amélioration de la qualité des rapports. Ainsi, la différence entre les données des entreprises et celles de l'Etat a baissé de 55 %, sur l'année fiscale 2011, à 0,2 % sur l'année fiscale 2014. Depuis leur participation à des actions de qualification, de nombreux journalistes sont pour la première fois en mesure de thématiser le thème de la gouvernance des ressources naturelles et de le rendre accessible à d'autres couches de la population, et ce par exemple au travers d'émissions sur la radio locale. Avec l'appui du programme, la Chambre de l'industrie extractive de l'association des entreprises congolaises a défini un guide RSE qui repose sur les recommandations de la plateforme de dialogue Investissement durable au Katanga (IDAK)