Dans le cadre du processus CDB-suivi post 2020, la COMIFAC a été sélectionnée par le Secrétariat de la CDB comme Centre de Coopération Technique et Scientifique pour la mise en œuvre de la Convention  sur la diversité Biologique et du cadre mondial pour la Biodiversité en Afrique centrale. Vous pouvez avoir le rapport intégral ici

Un atelier d'imprégnation à l'outil IMET et de planification d'une campagne d'évaluation de l'efficacité de gestion des aires protégées de la région du Sud-Ouest Cameroun a été organisé du 19 au 22 mars 2023 à Edéa avec l'appui financier du PSMNR-SW et l'appui technique du projet RIOFAC. Cet atelier vise à préparer les gestionnaires des cinq (05) aires protégées du Sud-Ouest Cameroun à savoir les parcs Nationaux de Takamanda, Mont Cameroun, Korup, Bakossi et le sanctuaire de faune de Bayang Mbo qui se sont engagés dans la définition des situations de référence de chacune des aires protégées afin d'élaborer ou de réviser leur plan d'aménagement.

Tenu les 21 et 22 février 2024 avec la participation de toutes les administrations sectorielles fournisseurs de données sur l'environnement et les forêts en RCA, l’Atelier avait pour objectif de procéder à la validation des données OFAC pour la campagne 2023, et d’effectuer un contrôle qualité pour s’assurer de la cohérence des informations dans la plateforme analytique de l’OFAC. Le projet RIOFAC a saisi l'occasion pour apporter un soutien en matériel informatique à la Coordination National COMIFAC (CNC) de la RCA en lui offrant deux (02) ordinateurs portables pour faciliter le travail du groupe national chargé de la collecte de données OFAC.

Financé par AWF, le Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF) du Cameroun a mobilisé l’expertise du projet RIOFAC pour conduire une évaluation de l’efficacité de gestion de la Réserve de Faune du Dja (RFD), site du patrimoine Mondial de l’UNESCO. L’atelier d’évaluation qui s’est tenu du 22 au 26 janvier 2024 avec la participation de l’équipe du service de la conservation, des représentants de chaque organisation partenaire en appui à la RFD, des représentants des communautés locales et peuples autochtones, de l’équipe du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC et de l’Expert facilitateur du projet RIOFAC/OFAC avait pour objectif d’évaluer l’efficacité de la gestion de la Réserve de Faune du Dja à l’aide de l'outil IMET au terme de la mise en œuvre du projet ECOFAC 6. Cette évaluation a permis non seulement la mise à jour de l’analyse du contexte d’intervention de la réserve, mais également contribué à ressortir le niveau de mise en œuvre du plan d’aménagement en cours (2020-2024), afin d’avoir les éléments nécessaires pour son amélioration lors de la révision qui est projetée. 

A la demande de l'Agence National des Parcs Nationaux du Gabon (ANPN), le projet RIOFAC a conduit en novembre 2023 au Complexe Educatif Dr Alphonse Mackanga Missandzou (CEDAMM) une formation sur l'outil IMET visant à renforcer les capacités et étendre le réseau national de coachs IMET au Gabon.  Au terme de cette formation, les capacités des coachs ont été renforcées sur les nouveaux modules intégrés à l'outil IMET. En outre, le réseau national de coachs IMET au Gabon, s’étend et intègre désormais huit (8) nouveaux coachs avec des compétences aussi variées que les organisations qu’ils représentent faisant un total de 12 coachs désormais.  Ces deux groupes de coachs avec des niveaux de compétences complémentaires constituent un atout majeur pour le système de gestion des aires protégées du pays.

Financé par l’Union européenne, le projet RIOFAC vise à contribuer à une économie verte qui permet un développement économique endogène durable et inclusif, tout en s’attaquant au changement climatique et à la préservation de la biodiversité dans tous les pays de la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC). 

Plus précisément, ce projet soutient l’Observatoire des Forêts d’Afrique Centrale (OFAC) qui met à la disposition de la sous-région et de ses partenaires des outils essentiels de pilotage et de partage des connaissances pour une meilleure gouvernance et une gestion durable des écosystèmes forestiers.

Découvrez la brochure du projet qui met en exergue les activités menées de 2017 à 2022. 

Organisée à Nairobi au Kenya les 11 et 12 octobre 2023, la conférence hybride du Global Landscape Forum 2023: Une nouvelle vision pour la Terre a rassemblé plus de 7 000 participants de 130 pays pour ouvrir la voie à un monde plus juste en amont de la COP28. 

La première session d'experts du forum était consacrée à la "compréhension du rôle des observatoires régionaux dans la préservation des écosystèmes durables en Afrique : Le cas de l'Observatoire des forêts d'Afrique centrale (OFAC) et de l'Observatoire des forêts d'Afrique orientale et australe (OFESA). Cette session organisée par le CIFOR-ICRAF a vu la participation du Dr Robert Nasi (Chief Operating Officer CIFOR-ICRAF et directeur général du CIFOR), et celle d'intervenants experts de la COMIFAC, du RCMRD et de l'OBAPAO.

Le sommet des Trois Bassins qui s'est tenu à Brazzaville du 26 au 28 octobre 2023, a réuni des chefs d'Etat, des délégations officielles, représentants de gouvernements, institutions internationales, bailleurs de fonds et des organismes de financement et experts dans le but de renforcer la gouvernance Sud-Sud pour les trois écosystèmes régulateurs, Amazonie - Congo - Bornéo-Mékong - Asie du Sud-Est. Avec l'appui du projet RIOFAC, l'Observatoire des forêts d'Afrique centrale (OFAC) a participé à des discussions de panels avec des institutions telles que le World Resources Institute. 

Constitué de 4 parties et 13 chapitres, l’EDF 2021 attire l’attention des États de l’Afrique centrale sur deux instruments internationaux pour lesquels la contribution des forêts est suivie par tous les pays du monde, notamment les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies et des Contributions Nationales Déterminées (CDN) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Des blogs détaillés sur les 13 chapitres du rapport sont actuellement disponibles sur Nouvelles des Forêts.

Le programme ECOFAC démarré en 1992, a constitué le programme régional phare de l’Union Européenne dans le domaine de la conservation de nature en Afrique centrale depuis 1992. Son objectif central est la mise en œuvre d’un processus régional de coordination des actions et mesures destinées à promouvoir la conservation et l’utilisation rationnelle du patrimoine forestier d’Afrique centrale et la mise en place d’un réseau régional d’aires protégées servant de terrain d’essais pour une série d’actions destinées à concilier la viabilité des écosystèmes forestiers et l’exploitation de leurs ressources par les populations concernées.

Cette évaluation qui coïncide avec la finalisation de la sixième et dernière phase du programme ECOFAC offre l’opportunité de capitaliser sur les acquis et les succès du programme, ses limites, ainsi que de tirer des leçons pour formuler des conclusions et recommandations. Téléchargez le rapport et ses annexes 5 et 6

Cliquez sur les liens pour accéder à l’enregistrement du webinaire ainsi que les présentations 1,2,3 et 4 des intervenants.

Financé par l’Union européenne (UE) et conduit par le Centre de recherche forestière internationale et le Centre International pour la Recherche en Agroforesterie (CIFOR-ICRAF), le programme RESSAC (Recherche appliquée en écologie et en sciences sociales en appui à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale) vise à orienter, pendant quatre années (2022-2025), les travaux de recherche vers des « solutions opérationnelles ».

Tous les détails sur cet appel sont disponibles ici.

Le rapport sur l'Etat des Forêts du Bassin du Congo (EDF) est l’une des publications phares de l'Observatoire des forêts d'Afrique centrale (OFAC) qui fournit des informations actualisées sur les écosystèmes forestiers d'Afrique;

Vous trouverez ici des faits et des chiffres tirés de l’EDF 2021 qui mettent en exergue le rôle essentiel des forêts du bassin du Congo ainsi que des considérations qui guideront les décisions en matière de gestion des forêts.

Les zones humides offrent un large éventail de services écosystémiques qui contribuent au bien-être humain. Malgré leur rôle essentiel dans les efforts de régulation du climat mondial, les zones humides restent faiblement prises en compte dans les plans nationaux et régionaux de financement et d'aménagement du territoire.

Vous trouverez ici quelques chiffres clés et faits intéressants sur les zones humides d'Afrique centrale. 

Ce 03 mai 2022, le résumé du rapport LES FORETS DU BASSIN DU CONGO - ETAT DES FORETS 2021 de l'OFAC a été présenté au XVème Congrès Forestier Mondial à Séoul. 
 

Le rapport État des forêts 2021 (EDF 2021) est le septième de la série publiée depuis 2005. Le rapport précédent a été publié en 2015 lors de la quinzième Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) tenue à Paris.

Le rapport sera prochainement disponible dans son entièreté sur le site web de l'Observatoire des Forêts d'Afrique Centrale. 

Le résumé de l'ouvrage est déjà diposnible ici (version FR ou EN). xx

N’Djamena, République du Tchad, 11-13 avril 2022- La Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) organise avec l’appui financier et technique du CIFOR à travers le Projet RIOFAC, la onzième réunion du Groupe de Travail de la Convention des Nations Unies pour la Lutte Contre la Désertification en Afrique Centrale (GTCCD).

La Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) organise avec l’appui financier et technique du CIFOR à travers le Projet RIOFAC, la dixième réunion du Groupe de Travail de la Convention des Nations Unies pour la Lutte Contre la Désertification en Afrique Centrale (GTCCD) du 11 au 13 avril 2022 à N’Djamena en République du Tchad.

Cet atelier régional de trois jours permettra aux participants d’adopter les positions communes sur les enjeux de la quinzième session de la Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Spécifiquement il s’agira de passer en revue les différents points de l’ordre du jour de la CdP15 et identifier les thématiques pertinentes pour l’Afrique centrale ; de passer en revue les différents points de l’ordre du jour d’adopter un document de positions communes des pays de l’espace COMIFAC sur les thématiques clés de la CdP15 ; de faire le point sur l’état de préparation des délégations au niveau national (composition des délégations, aspects logistiques, etc.) ; de concevoir un cadre d’intervention lors de la CdP15 ; d’adopter la feuille de route 2022 du GTCCD.

Selon Hervé Maidou, Secrétaire Exécutif de la COMIFAC, « la dégradation des terres est un grand défi pour tous les pays de la COMIFAC d’où la nécessité de conjuguer les efforts pour venir à bout de ce fléau ; Nous osons croire qu’aux sorties des travaux, un ensemble actions harmonisées sera adopté, et que la feuille de route 2022 du GTCCD qui sera adoptée servira de bonne base pour les négociations lors de la CdP15 ». 

Regroupant une divergence d’acteurs dont les Points Focaux Nationaux de la CCD des pays membres de la COMIFAC ; les Coordinateurs Nationaux de la COMIFAC du Tchad, Burundi, Rwanda ; et les Représentants des partenaires au développement, quatre principaux résultats sont attendus au terme de ce grand rendez-vous régional :

• L’adoption d’un document de positions communes des pays de l’espace COMIFAC par rapport aux différents points inscrits à l’ordre du jour de la CdP15 ;
• Le point sur l’état de préparation au niveau national de cette réunion est fait et les aspects logistiques sont discutés ;
• L’adoption d’un cadre d’intervention des experts de l’espace COMIFAC à la CdP15 ;
• L’adoption d’une feuille de route 2022 du GTCCD est adoptée.

Rappelons que cette session de travail s’inscrit dans le cadre de la préparation de la quinzième session de la Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) qui se tiendra à Abidjan, Côte d'Ivoire, du 9 au 20 mai 2022 sous le thème 'Terre. La vie. Héritage : de la rareté à la prospérité'. Ce thème est un appel à l'action pour s'assurer que la terre, la bouée de sauvetage sur cette planète, continue de profiter aux générations présentes et futures.

A propos du GTCCD

Le groupe technique de travail dénommé : Groupe de Travail de la Convention des Nations Unies pour la Lutte Contre la Désertification en Afrique Centrale en abrégé GTCCD a été mis en place par le Secrétariat exécutif de la COMIFAC depuis 2008 pour coordonner et de suivre la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (CNULD) en Afrique centrale. Cette entité est composée des représentants : des Centres de liaison du PASR/LCD-AC (COMIFAC, CEEAC) ; des Chefs de file thématiques du PASR/LCD-AC (Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT), Commission Economique du Bétail, de la Viande et des Ressources Halieutiques d’Afrique Centrale (CEBEVIRHA), Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS), Agence Intergouvernementale de Développement de l’Information Environnementale (ADIE), Réseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale d’Afrique Centrale (RIFFEAC) ; des Points Focaux Nationaux de la CCD des pays membres de la COMIFAC ; des Coordinateurs Nationaux de la COMIFAC du Tchad, Burundi, Rwanda ; et des Représentants des partenaires au développement.

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Pour d’amples informations, bien vouloir télécharger les TDRs de l’atelier et /ou contacter le secrétaire exécutif adjoint, coordonnateur technique de la COMIFAC

Nchoutpouen Chouaibou cnchoutpouen@comifac.org

Louisette Sylvie Yebel-Founga, experte communication COMIFAC louisetteyebel@comifac.org

Du 25 février au 1er mars 2022, s’est tenue à Kinshasa une session de travail de validation de la cartographie décamétrique de l’occupation du sol et des types forestiers d’Afrique Centrale au moyen d'images SENTINEL. Cette session a été organisée par le projet de Renforcement et institutionnalisation de l’observatoire des forêts d’Afrique Centrale (RIOFAC) ; activité s’inscrivant dans le cadre de l’appui à l’OFAC.

Durant ces travaux qui se sont déroulés au sein des bureaux de l’OSFAC, les experts de la Direction des Inventaires et Aménagement Forestiers (DIAF) invités ont pu contribuer à l’amélioration du produit cartographique en cours de réalisation. Pendant plus cinq jours, ces experts ont travaillé sur le produit à l’échelle de la République Démocratique du Congo (RDC) en identifiant les zones mal classées sur base d’un composite annuel Sentinel-2 et en utilisant des images à très haute résolution issues de Google Earth. 

Au préalable, les experts se sont familiarisés avec la clé d’interprétation visuelle faisant correspondre les types forestiers et la typologie. La typologie régionale harmonisée des types de forêts a été élaborée depuis 2018 grâce à plusieurs ateliers régionaux rassemblant les experts nationaux de la zone COMIFAC. Cette typologie repose sur le Land Cover Classification System (LCCS). Suite à la session de travail, les classes identifiées comme mal cartographiées par les experts ont ensuite été améliorées par les membres de l’équipe organisatrice. 

La dernière étape à mener pour connaitre l’exactitude de la carte sera une validation du produit cartographique des types forestiers qui pourrait être faite en confrontant cette cartographie aux données de l’inventaire forestier national de la RDC et à des échantillons photo-interprétés par les experts. Cette session de travail a montré combien il est évident que la collaboration avec les experts nationaux est essentielle pour la réalisation d’un produit de qualité répondant aux attentes des pays bénéficiaires du produit.

L’Afrique centrale compte aujourd’hui plus de 200 aires protégées pour une superficie totale de 800 000 km², soit environ deux fois la superficie du Cameroun. Sur les dix pays de la région, les aires protégées ont ainsi doublé en nombre et en taille depuis vingt ans. Selon le nouveau rapport « Aires protégées d’Afrique centrale : État 2020 », l’Afrique centrale remplit quasiment les objectifs internationaux en termes de superficie protégée. Cependant, ces aires sont souvent malmenées et témoignent d’une gestion qui pourrait être améliorée. Dans une optique de développement durable, les auteurs du rapport insistent sur la richesse d’un capital naturel à protéger, qui participe en retour au développement socio-économique de la région.

Pour découvrir le communiqué de presse dans son intégralité, cliquez-ici

Le programme de gestion de la biodiversité et des aires protégées (BIOPAMA) est ravi de présenter la dernière version de l’outil de gestion intégrée de l’efficacité (IMET). S’appuyant sur les leçons apprises par les utilisateurs sur le terrain dans des sites du monde entier, cette nouvelle version 2.2 offre de nombreuses nouvelles fonctionnalités pour améliorer les évaluations et se concentrer davantage sur l’obtention de meilleurs résultats pour les aires protégées. IMET est un outil d’aide à la décision complet et approfondi pour l’évaluation des aires protégées marines et terrestres, qui aide les gestionnaires d’aires protégées à comprendre comment obtenir les meilleurs résultats, sur la base d’une approche analytique. Rejoignez-nous le 15 juillet pour ce webinaire d’une heure afin d’en savoir plus sur IMET, notamment sur leur installation et leur utilisation.

Poster “Vers des aires protégées plus axéessur les résultats”

Planifier et gérer les aires protégées nécessite de disposer de connaissances sur leur situation et sur les problématiques qui les affectent. Avec cet objectif, l’Observatoire des forêts d’Afrique centrale (OFAC) présente un bilan actualisé de l’état des aires protégées dans les dix pays membres de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC).

 Rédigé par un groupe d'experts spécialisés dans la conservation en Afrique centrale, avec l’appui financier de l’Organisation des États d’Afrique, Caraïbes et Pacifique (OEACP) et de l’Union européenne (UE) à travers les programmes BIOPAMA et RIOFAC, et la GIZ, l’ouvrage « Aires protégées d’Afrique centrale : État 2020 » fait suite à une première édition publiée en 2015, devenue aujourd'hui la publication phare sur les aires protégées de la sous-région.

 L'édition 2020 fournit non seulement des données mises à jour, mais des informations plus approfondies sur des questions urgentes telles que la transhumance, les conflits homme-faune, et les industries extractives. Cette publication est un produit phare de l’Observatoire pour la biodiversité et les aires protégées du programme BIOPAMA, hébergé par l’OFAC-COMIFAC en Afrique centrale.

 Dans le but de présenter les principales conclusions aux décideurs, journalistes, bailleurs actuels et futurs, universitaires, organisations de la société civile et d'autres acteurs des secteurs de la conservation et du développement, l’OFAC organise un événement public en ligne pour lancer la publication. Il sera suivi par un point de presse adressé aux médias.

 Date et heure : 29 juin 2021, 10h00-11h30 heure de Yaoundé

Lieu : En ligne (Zoom)

Langues : Français/anglais (traduction simultanée)

Enregistrez-vous ici : https://zoom.us/webinar/register/WN_-O2QJPBgQQmVd69JBFu5Fw

Pour télécharger le programme, cliquez-ici.

L'OFAC lance son nouveau portail d’analyse sur les écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale

Yaoundé, Cameroun, 29 octobre 2020 – Afin d’encourager la prise de décisions informée pour une

gestion durable des forêts, la conservation et l’ utilisation responsable de la biodiversité d’Afrique

Centrale, l’Observatoire des forêts d’Afrique centrale (OFAC), cellule technique de la Commission des

Forêts d'Afrique Centrale (COMIFAC), a mis sur pied une nouvelle plateforme d’analyse avec les

indicateurs clés des tendances des politiques régionales, nationales et locales et de leurs impacts sur

les écosystèmes forestiers.

Des données capitales sont désormais disponibles sur ce portail, telles que les volumes de production,

gestion et certification, exportation, transformation et de commercialisation du bois, les politiques et

stratégies de conservation, la contribution des forêts et de la biodiversité aux économies nationales,

et des nombreuses autres informations collectées sur le terrain, dans les administrations nationales et

régionales, ainsi que de très nombreuses images satellites sont compilées dans la plateforme.

Conçue de manière visuellement attrayante et interactive, la plateforme a pour but de faciliter l'accès

aux informations régionales, nationales et locales en la matière. La plupart des informations sont

ouvertes et gratuites, disponibles sur le site Web : https://www.observatoire-comifac.net/analytical_platform.

D’autres outils inédits sont disponibles dans la plateforme comme (i) un module de recensement et

d’analyse des initiatives entreprises dans les secteurs de l’environnement, l’aménagement du

territoire et le développement socio-économique contenant à ce jour environ 650 projets pour 80

bailleurs, 324 agences d’exécution et un montant dépassant les 6 milliards d’euros et, (ii) une librairie

multimédia avec plus de 1 200 documents scientifiques, plans d’aménagement, documents

stratégiques et politiques, etc.

« La plateforme analytique sera un outil efficace d'appréciation des données et d'aide à la décision

technique et politique, pour les décideurs et les chercheurs des forêts d’Afrique centrale, que nous

invitons vivement d’ailleurs, à exploiter ces données et outils fiables et de qualité mis à leur disposition.

C'est une étape importante vers une plus grande harmonisation des politiques sectorielles entre les

États membres de la COMIFAC et vers une coopération régionale », a dit Raymond Ndomba Ngoye,

Secrétaire Exécutif de la COMIFAC.

Lancée en marge du Forum mondial sur les paysages (GLF) « One World – One Health », qui s'est tenu

en ligne les 28 et 29 octobre 2020, cette initiative vient renforcer le rôle stratégique que joue l’OFAC

dans la collecte et la gestion des informations en Afrique Centrale.

Cette initiative a été financée par l'Union européenne (UE) à travers la composante régionale du

programme ECOFAC 6 (projet RIOFAC) et l’UE et l’Organisation des Etats d’Afrique, des Caraïbes et du

Pacifique (ACP) à travers le programme BIOPAMA.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Louisette Yebel 

COMIFAC

+237 691492561/+237 651973000 

louisetteyebel@comifac.org 

Arnauld Chyngwa

CIFOR/Projet RIOFAC

+237 694687272

A.Nganso@cgiar.org

Le Secrétaire Exécutif Adjoint de la COMIFAC a donné une interview au CGIAR/CIFOR pour la revue Forest News, afin d'expliquer ce qu'est L'Observatoire des Forêts d'Afrique Centrale, son rôle et ses missions pour la gestion durable des écosystèmes forestiers d'Afrique Centrale. 

Retruvez l'interview dans son intégralité ici.

Pour en savoir plus sur ce sujet, participez au Forum mondial sur les paysages les 28 et 29 octobre.

Ce 22 octobre 2020, une délégation de la Facilitation du Partenariat des Forêts du Bassin du Congo (PFB), composée du Faciliteur de la République Fédérale d'Allemagne, le Dr Christian Ruck, et du co-Facilitateur, Mr Raymond Mbitikon, a visité les locaux du projet Renforcement et Institutionnalisation de l'Observatoire des Forêts d'Afrique Centrale (OFAC). Ce fut l'occasion de présenter les différents outils développés en appui à l'OFAC, en particulier la nouvelle Plateforme Analytique et les produits cartographiques.

La Commission des Forêts d'Afrique Centrale (COMIFAC) est à la recherche d’un ( e ) expert ( e ) biodiversité pour le Secrétariat Exécutif.

La durée du contrat est de 12 mois renouvelable. Lieu d’affectation : Yaoundé siège du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC.

Date limite de candidature : le 28/07/2020

Pour d’amples informations, bien vouloir télécharger le document ici

La Commission des Forêts d'Afrique Centrale (COMIFAC) est à la recherche d’un ( e ) Expert ( e ) Gouvernance Forestière au Secrétariat Exécutif de la COMIFAC.

La durée du contrat est de 12 mois renouvelable. Lieu d’affectation : Yaoundé siège du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC.

Date limite de candidature : le 28/07/2020

Pour d’amples informations, bien vouloir télécharger le document ici

L'Observatoire des forêts d'Afrique centrale (OFAC) à travers le Centre de recherche forestière internationale (CIFOR) cherche un consultant pour la production d'une cartographie et d'une enquête sur les parties prenantes autour de l'OFAC qui permettra de mieux comprendre l’impact de l'observatoire sur ses publics cibles.

Date limite pour postuler : 29 mai 2020.

Pour plus d’informations, voir les Termes de Réference (FR) 1 et 2.

La COMIFAC/OFAC et BIOPAMA lancent deux appels à candidatures pour appuyer avec la traduction et la mise en page de la publication "Etat des Aires Protégées d'Afrique Centrale". En savoir plus

Le bassin du Congo est la deuxième plus grande forêt du monde, mais elle est loin derrière l'Asie du Sud-Est et l'Amazonie dans la capture des flux financiers internationaux destinés à la protection de la nature et à la gestion durable des forêts tropicales, montre une nouvelle note de synthèse publiée par l’Observatoire des forêts d’Afrique centrale (OFAC), cellule spécialisée de la Commission des forêts d’Afrique centraIe (COMIFAC).

Pendant les 10 ans s’étalant de 2008 à 2017, l’Afrique centrale n’a pu capter que 11,5 % des financements internationaux, loin derrière l’Asie du Sud-Est et l’Amazonie qui ont reçu respectivement 34 % et 54,5 %, expliquent les auteurs du document, qui a été présenté le mardi le 9 juillet 2019 au cours de la 10ème session ordinaire du Conseil des Ministres de la COMIFAC.

La note de synthèse révèle également d’autres données importantes : au cours de la même période, les partenaires financiers internationaux ont déboursé près de 2 milliards de USD pour appuyer la gestion durable des forêts en Afrique centrale, l’Allemagne et l’Union européenne occupant le peloton de tête. En revanche, au rang des premiers pays bénéficiaires de ces financements, figurent la République démocratique du Congo (40%), le Tchad (17%) et le Cameroun (14%).

« Notre équipe a analysé toutes les données disponibles sur les flux financiers internationaux pour le bassin du Congo, ce qui nous donne un aperçu des principaux bailleurs, et les domaines et pays ciblés. Nous avons trouvé que la région a une faible attractivité, » déclare Richard Eba'a. Atyi, directeur pour l’Afrique centrale du Centre de recherche forestière internationale (CIFOR) et auteur principal de l’étude.

Pour améliorer l’attractivité des financements dans le bassin du Congo, les scientifiques font les recommandations suivantes : intensifier l’activité diplomatique en direction des bailleurs de fonds les moins actifs en Afrique centrale ; améliorer la gouvernance dans la gestion de l’aide publique au développement ; renforcer les capacités des acteurs du secteur forêt-environnement de la sous-région dans le domaine de l’élaboration des propositions de projets de haute qualité ; et proposer une coordination des efforts des bailleurs de fonds pour des financements ordonnés et plus efficaces.

« Les bassins d’Amazonie et d’Asie du Sud-Est sont plus attractifs parce que les pays ont une plus grande capacité d’endettement, des relations diplomatiques plus fortes, et une meilleure gouvernance, » ajoute Liboum Mbonayem, co-auteur de la note. « Cependant, nous espérons que nos recherches permettront d’ouvrir le débat dans les pays d’Afrique centrale pour proposer des solutions à ces obstacles ».

La note de synthèse est disponible ici pour consultation.

Pour plus d’informations, veuillez contacter:

• Ahtziri Gonzalez
  +32 479153101
  a.gonzalez@cgiar.org
• Laurianne Mefan
  +237 71955862
  l.mefan@cgiar.org

Ce deuxième webinar abordera l’aspect typologique dans le cadre d’une cartographie décamétrique de l’occupation du sol et des types forestiers d’Afrique Centrale au moyen des images SENTINEL. L’objectif principale est d’établir une typologie qui soit interopérable avec les différents produits cartographiques disponibles de la sous-région. Cette interopérabilité nécessite une légende commune et standardisée à tout l’espace de la COMIFAC et à toute échelle de cartographie. Durant ce webinar, la logique derrière la construction de cette typologie sera présentée via notamment l’introduction du système de classification (LCCS) de la FAO. Ce système qui vise à normaliser la terminologie de l’attribut plutôt que les catégories finales, facilite cette standardisation. Finalement, une première version de la typologie régionale développée sera présentée aux participants et toute contribution à l’affinement de celle-ci sera bienvenue.

Lien d’accès au démarrage du webinar: https://global.gotomeeting.com/join/184583581.

Pour en savoir plus, cliquez-ici

Le premier webinar introduira les participants aux différentes plateformes d’acquisition des images Sentinel 1 et 2 et ainsi qu’à leur avantages et inconvénients compte tenu de la région d’étude et des applications souhaitées. Les participants apprendront les différentes étapes de prétraitement des images et découvriront les traitements possibles et nécessaires en fonction de leurs besoins. Les compositions colorées permettant de distinguer de manière optimale les différentes occupations du sol selon l’objectif établi seront également abordées. Finalement, une introduction aux images SAR, à leur complexité dans le traitement mais aussi à leurs avantages sera présentée.

Pour participer au webinar…

Webinar 1 OFAC 

Jeudi 25 avril 2019 à 14h00 (UTC + 2)

Participez à la réunion depuis votre ordinateur, tablette ou smartphone.

https://global.gotomeeting.com/join/864548741

Vous pouvez aussi appeler à l'aide de votre téléphone. 

États-Unis: +1 (646) 749-3117 

Code d'accès: 864-548-741 

Autres numéros de téléphone 

Allemagne: +49 692 5736 7300 

Australie: +61 2 9091 7603 

Autriche: +43 7 2081 5337 

Belgique: +32 28 93 7002 

Canada: +1 (647) 497-9373 

Danemark: +45 32 72 03 69 

Espagne: +34 932 75 1230 

Finlande: +358 923 17 0556 

France: +33 187 210 241 

Irlande: +353 15 360 756 

Italie: +39 0 230 57 81 80 

Norvège: +47 21 93 37 37 

Nouvelle-Zélande: +64 9 913 2226 

Pays-Bas: +31 207 941 375 

Royaume-Uni: +44 20 3713 5011 

Suède: +46 853 527 818 

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L’Observatoire des Forêts d’Afrique Centrale (OFAC) est une cellule spécialisée de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) qui appuie la prise de décisions politiques pour la gestion durable des forêts et des écosystèmes de la région en assurant la disponibilité des données actualisées et pertinentes nécessaires. L’observatoire permet à la sous‐région et à ses partenaires de disposer des outils essentiels de suivi et de partage des connaissances pour une meilleure gouvernance et une gestion durable des écosystèmes forestiers. L’OFAC, avec l’appui du projet RIOFAC, développe une méthode de cartographie de l’occupation du sol et les types forestiers en Afrique Centrale et permettre le suivi des changements en utilisant des images Sentinel-1 et Sentinel-2 et en impliquant les experts nationaux des pays membres de la COMIFAC. Afin d’appuyer les experts nationaux et les administrations africaines pour le suivi par télédétection des ressources naturelles de la sous-région, des ateliers techniques et scientifiques vont être mis en place. Ces formations se déroulent sous forme d’ateliers régionaux mais aussi de formations en ligne « webinars » afin d’impliquer un maximum d’experts et de couvrir l’ensemble des étapes successives de la cartographie à large échelle avec les images SENTINEL.

Série de 5 webinars

Une série de 5 webinars en ligne sera organisée par l’Université Catholique de Louvain, à partir d’avril 2019 permettant aux participants de se familiariser avec les différentes étapes importantes de la cartographie à haute résolution de l’occupation du sol et des types forestiers

Premier webinar: Plateformes d’acquisition des images Sentinel-1 et -2.

Jeudi 25 avril 2019 à 14h00 (UTC + 2)
Le premier webinar introduira les participants aux différentes plateformes d’acquisition des images Sentinel 1 et 2 et ainsi qu’à leur avantages et inconvénients compte tenu de la région d’étude et des applications souhaitées. Les participants apprendront les différentes étapes de prétraitement des images et découvriront les traitements possibles et nécessaires en fonction de leurs besoins. Les compositions colorées permettant de distinguer de manière optimale les différentes occupations du sol selon l’objectif établi seront également abordées. Finalement, une introduction aux images SAR, à leur complexité dans le traitement mais aussi à leurs avantages sera présentée.

L’Observatoire des Forêts d’Afrique Centrale (OFAC), cellule technique de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), contribue à améliorer l’efficacité de gestion des aires protégées par le renforcement des capacités des professionnels du secteur de la conservation et la mise à disposition d’un outil d’aide à décision.
Dans le premier trimestre de 2019, avec le soutien du Programme pour la biodiversité et la gestion des aires protégées (BIOPAMA), l’OFAC a organisé une série de formations au Rwanda, Cameroun, Tchad et République centrafricaine pour renforcer les capacités des gestionnaires des aires protégées à produire, générer et collecter les données sur les aires protégées en utilisant l’outil intégré sur l’efficacité de gestion (IMET).

L’ outil IMET a été conçu pour soutenir directement les gestionnaires, sur le terrain et au niveau central, améliorer l’efficacité de la gestion des aires protégées et, plus généralement, la conservation de la biodiversité.

L’IMET donne du support à la planification, au suivi et à l’évaluation des aires protégées à partir de l’organisation des informations disponibles et la définition des niveaux de référence. Les analyses qui en découlent peuvent être exploitées à différentes échelles : de l’aire protégée, nationale ou régionale.

Ainsi, l’outil favorise l’adoption d’une approche proactive axée sur les résultats qui facilite la planification, l’analyse de l’état de conservation et la visualisation des paramètres pour évaluer l’efficacité de la gestion sur les objectifs de conservation.

La série de formations offerte par l’OFAC a eu pour objectifs : (i) promouvoir un recyclage des professionnels déjà formés à l’utilisation de l’outil IMET pendant la première phase du programme BIOPAMA (2014 – 2017), ii) offrir une opportunité de formation aux conservateurs et cadres de l’administration centrale des pays qui n’avaient pas participé à la première phase, à savoir le Rwanda, la Guinée Équatoriale, la République Centrafricaine, São Tomé et Principe et le Tchad, et iii) faire une évaluation de la version améliorée de l’outil (IMET 2.0)pour s’assurer que les changements apportées répondent effectivement aux besoins exprimés au cours des utilisations de la première version.

L’approche retenue lors de ces formations est l’apprentissage-action, de façon à ce que le développement des capacités soit intégré dans l’utilisation directe de l’outil sur des cas concrets par les groupes de travail, et la réalisation des exercices pratiques et discussions en groupe tout en valorisant les expériences de chaque participant dans le domaine de la conservation.

Le renforcement des capacités commence par un dialogue basé sur une série de questions liée aux défis et objectifs d’une gestion ciblée en amenant les participants à comprendre l’approche axée sur les résultats. Les exercices pratiques passent par le remplissage du formulaire IMET, mais aussi couvrent des aspects logistiques et organisationnelles nécessaires pour l’application de l’outil sur un site spécifique. Des notions importantes telles que la gouvernance, le partenariat, la cogestion, les services écosystémiques, le cycle de gestion d’une aire protégée etc. sont aussi abordées.

A la suite de ces formations, l’OFAC continuera à offrir un service d’accompagnement pour répondre aux besoins des pays et des partenaires dans la sous-région.

A court terme, le renforcement des capacités des gestionnaires des aires protégées pour collecter, analyser et utiliser les résultats découlant de l´IMET doit contribuer à un processus plus efficace de planification, suivi et évaluation interne des aires protégées.

A long terme, l’initiative permettra d’assurer qu’un nombre significatif d’aires protégées et d’institutions de gestion ou réseaux d’aires protégées de la région de l’Afrique Central puisse bénéficier d’un standard de qualité en terme d’information permettant ainsi d’élaborer des produits de connaissances en vue d’améliorer les politiques et la prise de décision en matière de conservation de la biodiversité, de la gestion des aires protégées.

L'OFAC a produit, en 2015, une première édition de l’Etat des Aires Protégées d’Afrique Centrale (EDAP 2015). Devant le succès de cette publication, de nombreuses institutions ont émis le souhait d’améliorer et de mettre à jour rapidement cet outil. Cette amélioration permettra une meilleure valorisation des démarches et outils de collecte et d’analyse de données que développe ou utilise l’OFAC dans l’exécution de sa mission. Afin de gérer et d’animer le processus de production de l’EDAP 2019, prévu pour l’African Protected Area Congress en novembre 2019, l’UICN, recherche un(e) assistant(e) d’édition.
Le(a) consultant(e) sera chargé(e) d’assurer le suivi des tâches distribuées aux différents partenaires et la coordination entre les intervenants et le comité éditorial, d’appuyer les processus de passation de marché, de rédiger un cahier et les corrections (syntaxe, style, orthographe) en veillant à un niveau de vocabulaire adapté pour du grand public, de s’assurer de la cohérence graphique du document et de fournir au comité éditorial les version de relecture et les versions finales, sous la coordination technique de la coordinatrice régionale du projet RIOFAC, point focal de la production de l’EdAP 2019.
Termes de référence du poste
Lien pour postuler

L'Observatoire des forêts d'Afrique centrale (OFAC), organe technique de la COMIFAC pour la collecte, gestion et mise à disposition de l’information, a développé des bases de données afin de recenser les initiatives mises en œuvre dans le domaine du secteur forêt-environnement et de l’exploitation et gestion durable des écosystèmes forestiers et la conservation de la biodiversité.
Sous l’impulsion de la COMIFAC et suite à l’expression de l’une des priorités régionales d’intervention de l’Union européenne, également reprise par la facilitation actuelle du Partenariat pour les forêts du bassin du Congo (PFBC), l’OFAC a développer une plateforme cartographique et analytique interactive afin de renforcer les synergies entre les acteurs intervenant dans la sous-région. La plateforme offre également un module de suivi de la mise en oeuvre et des résultats des actions menées afin d’accompagner le rapportage des projets.
Pour accéder à la plateforme, cliquez ici

Consultant Assistance Technique pour l’édition de l’Etat des Aires protégées d’Afrique Centrale – EdAP 2018. Candidatures acceptées jusqu'au 30 août 2018.

La réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation forestière (REDD+) est devenue un mécanisme prometteur d'atténuation des changements climatiques dans les pays en développement. Afin d'identifier les conditions propices à la réalisation de progrès dans la mise en œuvre d'une REDD+ efficace, efficiente et équitable, le présent document examine les paramètres politiques nationaux à travers une analyse comparative dans 13 pays, en mettant l'accent sur le contexte institutionnel et le cadre politique actuelle. En savoir plus

L'Afrique centrale dispose désormais des équations allométriques pour l'estimation de la biomasse forestière, ceci grâce aux efforts de la COMIFAC. En savoir plus

La composante national Cameroun du Projet régional CBSP a sollicité l’expertise de l’OFAC pour accompagner le processus de collecte et d’analyse des données pertinentes permettant d’établir une situation de référence et identifier les problèmes de gestion, de gouvernance et de financement durable du système des aires protégées du Cameroun.  Cet 'initiative qui couvre six pays d’Afrique Centrale (Cameroun, Gabon, Guinée Equatoriale, République Centrafricaine, République du Congo & République Démocratique du Congo) a reçu un Don du FEM IV pour la mise en œuvre à travers le PNUD, du projet régional « CBSP – Partenariat pour la conservation de la biodiversité – Mécanismes de financement durable des aires protégées du bassin du Congo– PIMS 3447 » en vue de soutenir une approche et une méthodologie visant à relever le défi du financement des Aires Protégées (AP) aux niveaux local, national et régional.

En effet, l’OFAC dispose d’un outil dénommé IMET (Integrated Management Effectiveness Tool) qui a été développé pour faciliter la collecte et l’organisation des données du contexte de l’intervention, et ainsi mesurer l’efficacité de gestion des aires protégées.

C’est dans ce contexte que l’OFAC a conduit deux sessions de formation-action organisées par le projet CSBP pour l’utilisation de l’IMET en faveur des experts dudit projet et des conservateurs des aires protégées ciblées à savoir le PN Boumba Bek, PN Nki, PN Deng-Deng, RF Ngoyla Mintom, RF Douala Edea, RF LacOssa, PN Campo Ma’an, JZ Limbe. La première a eu lieu à Djoum du 09 au 12 et la deuxième à Edéa du 23 au 28 Juillet 2018.

Ces sessions de formation visaientt spécifiquement à:

• Former les experts du projet régional CBSP et les Conservateurs des aires protégées ciblées à l’utilisation de l’outil IMET.
• Identifier et caractériser pour chaque site les problèmes relatifs aux cadres juridiques, politiques, institutionnels et opérationnels qui entravent le financement durable de ces APs
• Renforcer les capacités de planification-suivi-évaluation des gestionnaires de ces aires protégées.

A la suite de ces sessions de formation un calendrier de descente de terrain a été défini pour la collecte des données dans les sites.

La synergie entre le projet régional CBSP et l’OFAC renforce le rôle que doit jouer l’Observatoire des Aires protégées d’Afrique Centrale dans la sous-région.

Le premier numéro de la Policy Brief de l’Observatoire des Forêts d'Afrique Centrale (OFAC) vient de paraître: Faire du bois légal une obligation dans les marchés publics en Afrique Centrale
 Policy Brief N.1 (FR)
 Policy Brief N.1 (EN)

La Commission des Forêts d'Afrique Centrale recherche un Expert en Informatique, gestion de base de données et développement web pour l'Observatoire des forêts d'Afrique Centrale. La mission de l'Expert aura pour objectif global de maintenir en état de fonctionnement la structure informatique du bureau de l'OFAC, basé à Yaoundé, d'appuyer le développement du système d'information et d'anticiper les besoins pour la centralisation des outils informatiques de la COMIFAC. Les Termes de Référence du poste et les détails de la procédure de candidature et de recrutement sont repris dans l'Appel à Manifestation d'Intérêt ci-dessous.
 Appel à Manifestation d'Intérêt COMIFAC

Ce 25 octobre s’est tenu marge de la 17ème réunion du Partenariat des Forêts du bassin du Congo à Douala, la réunion de lancement de Volet Cameroun du Programme ECOFAC 6. Ce volet, d’un montant 10 milliards de CFA (12.5 millions d’euros) sur les 40 milliards apportés à l’Afrique Centrale, est destiné au renforcement de la protection des écosystèmes forestiers notamment par l’appui aux parcs du Dja et du Faro, et à l’Observatoire des Forêts d’Afrique Centrale ». Pour en savoir plus sur le projet d’appui à l’OFAC.

• Résumé du projet RIOFAC
• Document de projet RIOFAC
• Article dans la presse

L’observatoire des Forêts d’Afrique Centrale (OFAC), né de l’appui de l’Union Européenne en 2007, fête à ce jour ses 10 ans. Initialement, projet entièrement porté par l’UE, l’OFAC évolue depuis plusieurs années avers une institutionnalisation de l’OFAC au sein de la COMIFAC pour devenir aujourd’hui un instrument reconnu de la COMIFAC. Personnellement à cette évolution institutionnelle, le système d’information de l’OFAC prend également un essor important. En effet, traditionnellement centré sur l’Etat des Forêts – ouvrage de référence reconnu dans la sous-région et au-delà – les produits de l’OFAC se diversifie avec la prise en charge de thématiques émergeantes comme le suivi des projets, des aires protégées, … Pour répondre aux attentes toujours plus croissantes, l’OFAC met en place des outils d’analyses et des plateformes de diffusion des informations afin que chaque utilisateur puisse accéder, en fonction de son profil, à une information utile et directement exploitable.

Une connaissance détaillée des plantes estfondamentale pour la vie humaine sur terre. Les plantes sous-tendent tous lesaspects de notre vie quotidienne - des aliments que nous mangeons, desvêtements que nous portons, des matériaux que nous utilisons, de l'air que nousrespirons, des médicaments que nous prenons et bien plus encore. Ces servicesessentiels fournis par les plantes sont trop souvent pris pour acquis. Ils'agit du deuxième rapport annuel dans lequel nous avons examiné les bases dedonnées, la littérature publiée, les documents politiques, les rapports et lesimages satellitaires pour fournir une synthèse des connaissances actuelles surles plantes du monde. En savoir plus

La participation de OFAC au 2ème symposium AfriGEOSS qui s'est tenu du 13 au 15 juin 2017 à Sunyani (Ghana) au cours duquel une présentation a été faite sur les initiatives nationales et régionales en matière de suivi des écosystèmes forestiers. Cette présentation a été préparée en réponse aux recommandations formulées lors du 1er AfriGEOSS tenu en avril 2016 au Zimbabwé. Les expert du projet PREREDD (COMIFAC) ont fait une présentation sur "l'utilisation de l’imagerie 3D pour l’estimation indirecte et non destructive de la biomasse aérienne des arbres". En savoir plus

A la suite des recommandations de la 9ème session du Conseil des Ministres de la COMIFAC portant sur la structuration des collectes de données de la COMIFAC autour des CNC, un atelier de réflexion a été organisé par le Secrétariat Exécutif de la COMIFAC du 25 au 27 Mai 2017 à Douala en vue d'identifier des éléments de base pour l'élaboration d'un protocle intégré de collecte de données aussi bien au niveau national que régional. La contribution de l'OFAC au regard de sa grande expérience en matière de collecte de données dans le domaine forêt-environnement en Afrique centrale a été valorisée

La participation de l'OFAC à la 6ème réunion du Sous-groupe de Travail Aires Protégées et Faune Sauvage de la COMIFAC a permis de présenter un état des lieux sur les réalisations générales en termes de processus de collecte de données, d’aborder la notion de valorisation des données collectées, de montrer la nécessité d'une restructuration du processus de collecte des données COMIFAC autour des CNC, de montrer le potentiel de l’Atlas–COMIFAC comme instrument de communication sur la gestion des Aires Protégées et de communiquer sur les perspectives à venir. En savoir plus

Au cours des vingt dernières années, les concessions forestières ont subi d'importants changements dans le bassin du Congo. Ils ont contribué de manière indéniable à la gestion durable des massifs forestiers et ont permis de surmonter les capacités limitées de gestion des Etats. Ils ont également veillé à ce que le secteur du bois reste durable et augmente ses contributions aux économies et à la croissance locale. Basée sur les données de l'OFAC, une analyse de ces changements a été faite par l'ATIBT dans son rapport d'activité pour l'année 2016. En savoir plus

Du 01 au 05 mai, dans le parc national de Akagéra (Rwanda),l'OFAC a été activement impliqué à une formation sur la gestionorganisationnelle des Aires Protégées en Afrique centrale organisée par Fauna and Flora Int. Au cours de cette formation, une introduction à l'outil IMET aété faite à l'endroit des gestionnaires de parcs venus de 4 pays de l'Afrique centrale(Cameroun(4), RDC(7), Burundi(1) et Rwanda(2)). L'objectif était de mettre enévidence les modules théoriques reçus à travers l'utilisation d'un outil intégré.Les participants ont apprécié l'outil et ont souligné son importance dans leurs activités de suivi-évaluation et de planification, mais souhaiteraient en savoir plus.

Les partenaires tels que GIZ, WWF, AWF adoptent progressivement IMET comme outil en support à la planification et au suivi évaluation dans les aires protégées au sein desquelles ils interviennent. Nous pouvons citer par exemple le Parc National de Sena-Oura au Tchad et les Parcs Nationaux de Bouba Ndjida, Bénoué au Cameroun avec la GIZ. Le paysage Maringa-Lopori-Wamba et le Parc National de la Salonga en RDC respectivement avec AWF et WWF. Et bientôt le Parc National de Faro au Cameroun avec AWF. etc...

Par ailleurs les universités béninoises avec l'appui du CENAGREF (Centre National de Gestion des Réserves de Faune) ont décidé d'intégrer l'application de l'outil IMET dans les curricula des facultés qui forment les futurs gestionnaires des aires protégées.

Le Projet d’appui au Complexe Binational Sena Oura- Bouba Ndjidda (BSB Yamoussa) fournit l’appui/conseil dans la mise en place et application des outils de gestion, notamment l’IMET. C’est à ce titre que le Projet GIZ/BSB suit le fonctionnement et l’amélioration de la performance de gestion des deux Parc Nationaux du Complexe Binational BSB Yamoussa. En septembre dernier, les conservateurs du Complexe et le Projet GIZ appui au BSB se sont accordés pour adopter cet outil technique d’évaluation de la gestion des aires protégées développé par Biodiversity and Protected Areas Management Programme (BIOPAMA) en collaboration étroite avec l’Observatory for the Forests of Central Africa (OFAC). En savoir plus...

Cet ouvrage présente les principales caractéristiques technologiques de 283 essences forestières tropicales et 17 tempérées les plus usitées en Europe associées à leurs principales utilisations. Les opérateurs de la filière bois en seront les principaux utilisateurs, qu'ils soient producteurs ou consommateurs). Cet atlas constitue un outil pédagogique de référence pour les enseignements et formations concernant le secteur des forêts et du bois en région tropicale. Pour plus de détails...

Les données de biomasse de cette publication de même que celles d'une publication en cours avec un groupe de chercheurs au Cameroun (Uni - Yaoundé I) ont été utilisées pour tester les équations existantes le plus souvent utilisées. Il ressort que l’équation de Djomo et al. (2016) est plus précise en zone humide et l’équation générale (Djomo et al. 2016) testée en RDC dans une forêt de mangrove montre qu'elle a une précision acceptable supérieure aux autres lorsque qu'on ne connaît pas la strate d’étude. Pour plus de détails...

Les activités du secteur forestier occupent une place non négligeable dans l'économie de la République du Congo. Elles contribuent à hauteur de 5,6% au Produit intérieur brut (PIB) national, soit la deuxième ressource de revenus de l'Etat après le pétrole. Lire la suite dans la press: Les dépêches de Brazaville, N°2881 du Mercredi 5 Avril 2017

Cette étude vise à évaluer le concept IFL et à proposer des voies additionnelles ou complémentaires pour sa mise en œuvre dans la région Afrique centrale. Basée sur une vaste revue de la littérature scientifique sur les IFL et la gestion forestière en Afrique centrale, ce document aborde les trois questions suivantes: (1) Comment les différents concepts proposés pour identifier les zones sauvages/intactes évoluent-ils au fil du temps? (2) Quels sont les avantages et les inconvénients de la méthode IFL permettant d'identifier les domaines prioritaires pour la conservation en Afrique centrale? (3) Existe-t-il des contraintes spécifiques concernant la mise en œuvre du concept IFL (tel qu'il est actuellement défini et identifié) en Afrique centrale et comment pourraient-elles être surmontées? Pour plus de détails

L'étude sur l'impact de la mesure d'interdiction d'exportation des grumes au Gabon commanditée par la BM et conduite par FRMi avait pour objectif i) de bien cerner l'impact de l'interdiction d'exportation de grumes en 2010 sur les ressources forestières et sur l’économie du Gabon, et (ii) d’identifier des objectifs réalistes, d’actions et mesures à prendre pour accroître le poids de l’industrie du bois dans la croissance économique du Gabon. Pour plus de détails

Dans le cadre de la 16ème Réunion des Parties du PFBC qui se tient à Kigali-Rwanda, du 21-26 Novembre 2016, Le programme BIOPAMA organise conjointement avec OFAC, RAPAC, JRC et UICN un side event le mardi 22 Novembre à partir de 18h30. Est inscrit à l'ordre du jour:
- Bilan des activités du projet BIOPAMA en Afrique Centrale
- Biopama 2 et l’Observatoire des AP en Afrique Centrale
- Questions ouvertes pour la discussion : quelles pistes pour l’avenir ?
- Questions-réponses et débat

- La crise de croissance du RAPAC clairement identifiée en 2014 a conduit à l’ouverture en 2015 d’un cycle de réforme du réseau qui a commencé: (1) par l’adoption des orientations de cette réforme et (2) par la réunion des conditions techniques et financières de la réforme.
- Les orientations adoptée par le conseil d'administration et l’assemblée Générale d’Avril 2015 à Libreville constituent le pilier de la reforme du RAPAC. Engagée en mai 2015, la transition vers la réforme du RAPAC a consisté à rédiger les bases techniques de cette réforme d’une part et à négocier un financement d’appui à cette réforme d’autre part,ce qui a été achevé en Octobre 2015 avec la signature du projet d’appui de l’UE à la réforme du RAPAC.
- Et voila, le mi-chemin de la réforme parcouru, la réforme commence à enregistrer certains des succès attendus.
- Ce communique de presse est le début d'une série des communiqués que RAPAC continuera à vous partager sur ses travaux de la conservation des aires protégées d'Afrique Centrale.

Du 19 au 23 juin 2016, plus de 700 experts de 51 pays se réuniront à Montpellier à l’occasion de la 53ème réunion annuelle de l’Association pour la Biologie Tropicale et la Conservation (ATBC), co-organisée par le Cirad. Le thème de cette année est « Écologie Tropicale et Société : concilier l’utilisation durable de la biodiversité et la conservation ».
La COMIFAC et OFAC interviendront au cours de la session du 20 juin 2016 "Biodiversity conservation in a conflicting context – The case of the Congo Basin" et celle du 23 juin 2016 "Consumptive Uses Of Wildlife In Sub Saharan Africa: The JANUS BIFRONS SYNDROME”.
Ce rendez-vous annuel incontournable pour tous les spécialistes de la biologie tropicale sera l'occasion d’échanger idées, concepts et approches en lien avec la conservation des milieux tropicaux au cours de 72 symposia et 6 sessions plénières. Vous trouverez davantage d'informations sur le site Internet dédié à cet événement : http://www.atbc2016.org

En paraphant l’Accord de Partenariat Volontaire du processus FLEGT entre le Cameroun et l’Union Européenne, les plus hautes autorités du Cameroun se sont engagées à rendre publiques les informations du sous secteur forestier. La transparence qui en découle est une composante essentielle de la bonne gouvernance dont la gestion durable des écosystèmes est le but ultime.
La systématisation de la production statistique devient de ce fait un processus naturel pour le suivi et le rapportage permanent en vue de faciliter la prise de décision et renforcer la bonne gouvernance. Les informations statistiques ont ceci d’avantageux qu’elles sont les moins contestables car se situant par définition loin des propagandes politique ou idéologique et plus proche de la réalité.
Dans l’optique de faciliter la production de la première édition d’un annuaire statistique au MINFOF, il a été convenu que cette dernière se fasse sur une plage de cinq (05) ans (2010 à 2014) et se base sur les indicateurs de réalisation des différents Programmes de la stratégie du sous-secteur forêts et faune.
L’élaboration de ce document a permis également de faire un état des lieux en matière de données statistiques et d’identifier les principales difficultés de collecte, de stockage/archivage, de centralisation et de validation des informations produites ou disponibles, de même que d’entrevoir sereinement le processus de mise en oeuvre du SIS.
Disponible en suivant le lien: http://apvcameroun.cm/doc/01011-2016_BAT_Annuaire_MINFOF_2014_ok.pdf

L'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a publié, le premier Rapport mondial sur la criminalité faunique. Ce rapport met en évidence la façon dont le braconnage et le commerce illégal de la faune  présentent de véritables dangers environnementaux. Il fait le point sur la situation actuelle de la criminalité de la faune en mettant l'accent sur le trafic illicite d'espèces protégées spécifiques de la faune et de la flore sauvages, et fournit une évaluation générale de la nature et de l'étendue du problème au niveau mondial. Lire plus
Rapport disponible ici

L’enquête menée par OFAC-COMIFAC et RAPAC, avec l’aide de BIOPAMA, sur les attentes du secteur des aires protégées à l’égard de l’Observatoire Régional est un succès : plus de 160 questionnaires ont été complétés par des acteurs très diverses !

A partir de ces résultats intermédiaires synthétisés dans le document ci-joint, l’équipe veut dans le mois qui vient combler quelques lacunes constatées dans l’échantillonnage : il faut que les acteurs riverains des aires protégées et les leaders nationaux d'opinion soient mieux représentées et pour cela, qu’ils complètent quelques questionnaires supplémentaires en se rendant ici.

Alors si vous êtes leader dans votre pays du secteur culturel, économique, politique et intéressé par la nature, répondez svp en catégorie 3 de la première question de l'enquête ! Si vous êtes forestier, minier, agro-industriel, chef coutumier, répondez svp via la catégorie 2 ! Et si vous êtes fonctionnaires en charge de ce dossier à la Centrale, répondez svp via la catégorie 1.

Cette étude est la réponse opérationnelle du volet «Crise de la vie sauvage» de l’initiative-phare de l’Union européenne «Biodiversité pour la vie» (B4Life). B4Life est un cadre conceptuel conçu pour assurer une meilleure cohérence et coordination des activités de l’UE dans le domaine de la biodiversité et des services écosystémiques. Cette Analyse Régionale suit le document de Synthèse publié en novembre 2015. Téléchargez le rapport

Le 22 avril 2016, Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, a reçu au siège de l’ONU à New York, une cinquantaine de chefs d’Etats pour la signature de l'Accord de Paris (COP21).Lire la suite en suivant le lien:http://www.lesafriques.com/actualite/journee-mondiale-de-la-terre-preservons-notre-ecosysteme.html?Itemid=89?articleid=45939

Les présidents de l'Indonésie, la Commission européenne et le Conseil européen ont confirmé le 21 avril 2016 que l'Indonésie a satisfait à la dernière exigence majeure de son Accord de Partenariat Volontaire (APV ) avec l'UE et est en voie de devenir le premier pays du monde à délivrer des licences FLEGT.
L'UE peut maintenant procéder à compléter les procédures nécessaires à son côté pour rendre le régime d'autorisation FLEGT de l'Indonésie pleinement opérationnel. Lorsque ces procédures sont terminées, le Comité conjoint de mise en œuvre Indonésie - UE peut recommander une date pour commencer la livraison des licences FLEGT.
En savoir plus: http://www.flegt.org/flegt-new-era
http://ec.europa.eu/environment/pdf/21_04_2016_en.pdf

Dans le cadre de ses activités de suivi et de partage de connaissances sur les Aires Protégées, l'OFAC en collaboration avec le RAPAC et l'initiative BIOPAMA lance une enquête. Elle vise à collecter les caractéristiques des requêtes à formuler pour optimiser l'Observation des Aires Protégées.
Pour répondre à l'enquête veuillez cliquer sur le lien suivant: http://goo.gl/forms/gCnyIuV06R

Publié en mai 2003, le plan d’action FLEGT vise à lutter contre l’exploitation illégale des forêts et le commerce associé par des mesures agissant à la fois sur l’offre et la demande en bois : les accords de partenariat volontaires (APV) et le Règlement sur le bois de l’UE (RBUE).

Depuis une quinzaine d’années, l’exploitation illégale des forêts occupe le devant de la scène dans les discussions internationales. Progressivement, les marchés consommateurs veulent donc s’assurer qu’ils ne participent pas à un commerce controversé et augmentent leurs exigences vis à vis de l’origine des produits bois. A ce propos l’UE a achevé l’évaluation du Règlement Bois de l’UE, les résultats sont disponibles à l'adresse http://ec.europa.eu/environment/forests/timber_regulation.htm.

Le « Mémento du forestier tropical » présente de nombreux savoirs et savoir-faire pour que les acteurs de la gestion forestière y trouvent les principes, méthodes, outils, techniques et références indispensables. Il s'appuie sur l'actualité des grands débats internationaux, analyse les évolutions, les processus, les méthodes en cours et les perspectives. Il offre ainsi des pratiques propres à appuyer décideurs et praticiens dans leurs orientations de gestion.

Après un état des lieux des écosystèmes forestiers tropicaux et de l'environnement institutionnel, l'ouvrage aborde les grandes questions et les concepts qui orientent la gestion durable face aux menaces actuelles et futures. Il décrit les méthodes et les outils permettant d'appréhender les paramètres de terrain, sociaux, environnementaux, techniques, industriels et économiques. Il présente tous les savoirs et les savoir-faire intégrés dans des itinéraires techniques dont ont besoin les décideurs politiques, les acteurs institutionnels, les techniciens.

Plus d'informations

La stratégie de développement des capacités du programme BIOPAMA de l’Afrique centrale et occidentale vise à encourager les gestionnaires et administrateurs des aires protégées (AP) à utiliser le Système régional d’information, ou Observatoire régional sur la biodiversité et les aires protégées. Elle préconise pour l’année 2015-2016 la formation de formateurs-accompagnateurs, dénommés « Coaches BIOPAMA des aires protégées » (ou « coaches » dans le présent document) pour inciter prioritairement les gestionnaires des AP et ensuite les responsables au niveau national et régional à comprendre et à utiliser le Système d’information d’aide à la décision dans les processus d’analyse, de planification, de suivi, et d’évaluation de la gestion et de la gouvernance de la biodiversité et des AP. Le présent document est un support didactique destiné à aider les coaches à accomplir leur mission de formation/accompagnement.

Le Burundi vient de démarrer ce 3/2/2016 l'application du programme BIOPAMA à travers la formation des gestionnaires de six aires protégées pilotes (3 parcs, 1 réserve naturelle, 1 paysage aquatique protégé et 1 paysage protégé terrestre) sur le formulaire IMET. La formation a lieu à Gitega où se trouve le siège de l'Office Burundais pour la protection de l'environnement. C'est cet office qui a en charge la gestion des aires protégées. La formation est assurée par deux coaches Burundais ( Niyongabo Joseph et Nzigiyimpa Léonidas ) accompagnés par Mr Carlo Paolini (coach sénior) et Donald Jomha Djossi ( représentant de l'OFAC). Cette session de formation a été ouverte par le Directeur Général de l'Office Burundais pour la Protection de l'Environnement, Dr. Ndayiragije Samuel. Après cette session de formation qui prend fin en principe le 6/2/2016, succedera tout juste après la phase de collecte des données dans 6 aires protégées pilotes entre le 8/2 et fin mars 2016.

Source: Nzigiyimpa Léonidas

La campagne 2014-2015 de collecte des données OFAC a été lancée ce jeudi 26 Novembre 2015 en RD Congo. Le lancement était précédé d'une séance de mise à niveau des nouveaux membres du Groupe National OFAC.

L'OFAC vient de publier sous format électronique le premier état des aires protégées de l'ensemble de l'Afrique centrale. Le document est accessible en cliquant sur le lien http://www.observatoire-comifac.net/edAP2015.php. Il présente, pour la première fois, l'ensemble des réseaux d'aires protégées des pays de la région ainsi qu'une initiative régionale sur les aires protégées marines. Il est complété par un chapitre introductif sur l'évolution de ces réseaux d'aires protégées depuis le début du siècle dernier et par des tableaux et des cartes qui détaillent chaque réseau national.

Cet ouvrage est le fruit d'une collaboration avec le RAPAC, des services nationaux en charge des aires protégées ainsi que des partenaires qui les soutiennent. Il s'adresse en priorité aux décideurs et gestionnaires de la biodiversité d'Afrique centrale mais aussi à toute personne qui s'intéresse à la conservation de la biodiversité d'Afrique centrale et au développement des réseaux d'aires protégées de la région.

Fin juin 2015, les listes des concessions forestières publiées sur le site de l’OFAC ont été mises à jour au cours d’une mission d’assistance technique à l’OFAC démarrée en mars 2015 et apportée dans le cadre du projet CE-OFAC. Les listes mises à jour sont celles des concessions forestières des principaux pays forestiers du Bassin du Congo : Cameroun, Gabon, RCA, République du Congo, République Démocratique du Congo et Guinée Equatoriale. Les dates de mise à jour s’étalent entre fin 2013 (Cameroun) et début 2015 (RCA) et les sources de données sont issues du WRI, de projets d’appui à l’aménagement forestier ou de travaux internes à l’assistance technique.

Ces listes de concessions sont utiles aux partenaires du secteur afin de disposer d’un panorama à jour des exploitants forestiers, titres concédés et sociétés attributaires du Bassin du Congo. Ce travail de mise à jour sera régulièrement actualisé par les équipes de l’OFAC en coordination avec les projets d’appui, comme celui financé par l’UE ou le projet « Atlas régional COMIFAC sur l’utilisation des terres » financé par la GIZ.

Une soixantaine de partenaires impliqués dans la gestion des Aires protégées se sont réunis les 10 et 11 octobre 2014 à Brazzaville au Congo pour formaliser la mise en place de l'Observatoire BIOPAMA (Biodiversité et Gestion des Aires Protégées) pour la région d'Afrique Centrale. Ont pris part aux travaux, les gestionnaires de parcs, les services nationaux et régionaux en charge des Aires Protégées, les ONGs de conservation, les centres de recherche et de formation, les partenaires (techniques et financiers) à la conservation et au développement.

• UICN: http://www.iucn.org/fr/propos/union/secretariat/bureaux/paco/programmes/ap/observatoire_regional_pour_les_ap_et_la_biodiversite_en_afrique_centrale/atelier_de_lancement_de_l_observatoire/
• BIOPAMA: http://www.biopama.org/learn_more/?18461/Launch-of-Regional-Observatory-for-Biodiversity-and-Protected-Areas-in-Central-Africa

Le WRI vient de lancer son Atlas Forestier Interactif de Guinée Equatoriale. Ceci constitue le dernier élément de la collection des atlas forestiers des pays du bassin du Congo. Le premier atlas forestier du Cameroun a été lancé en 2005. Le Congo, la République Centrafricaine, le Gabon et la République Démocratique du Congo ont également été couverts. Ce produit est le  fruit du partenariat entre le World Resource Institute et les gouvernements, en collaboration avec la société civile, le secteur privé et les partenaires techniques et financiers.

La revue britannique «Philosophical Transactions of the Royal Society» vient de consacrer une édition spéciale aux changements passés, présents et futurs des forêts humides africaines, avec de très nombreux articles en consultation libre.

Les résumés en français sont disponibles sur http://rstb.royalsocietypublishing.org/site/2013/rainforest_french.xhtml.

Pour ceux qui ont besoin d'équations allométriques pour calculer les stocks de carbone de forestier, la plateforme Globallometree est à présent fonctionnelle http://www.globallometree.org

La plateforme Globallometree donne accès à une base de données mondiale sur les équations allométriques et permet de rechercher les équations disponibles en fonction de critères de recherche (zone écologique, pays, espèce...). Elle permet également de télécharger le logiciel Fantallometrik dédié aux équations allométriques, de télécharger de la documentation sur les équations allométriques (dont le manuel FAO sur les équations allométriques en français, anglais ou espagnol), etc

Un tout nouvel interface vous permet de visualiser les fonds de cartes (politique, végétation, image satellite, carte routières...) et les données disponibles sur OFAC (concessions, aires protégées, paysages...)

Ce jeudi 1 mars, le président et le secrétariat exécutif de la COMIFAC lanceront officiellement à Douala l'édition 2010 de l'Etat des Forets. Version complète disponible sur ce site

La prochaine réunion des partenaires du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) aura lieu les 1er et 2 mars 2012 à Douala, et sera précédé d'une journée dédiée à la gouvernance forestière, le 29 février. A cette occasion, la Commission en charge des forêts d'Afrique Centrale (COMIFAC), en collaboration avec le PFBC, souhaite réunir les représentants de la communauté scientifique d'Afrique centrale les 27 et 28 février afin de déterminer les grandes orientations de la recherche forestière pour les prochaines années.
Plus de details sur http://www.cbfp.org/

Le centre pour les Forêts Tropicales de Oxford accueille une conférence qui examine de manière interdisciplinaire le futur des forêts tropicales africaines au XXIème siècle. Le but est de synthétiser l'état de l'art sur la question et de les disséminer aux décideurs.
Toutes les présentations (transparents et podcast) sont disponibles sur http://www.eci.ox.ac.uk/africa/programme.php

The French development agency AFD incollaboration with Astrium have announced at the Planet Action REDD+ workshop that the entire SPOT satellite image archive for the Congo Basin (over 2 million km2) is available online for approved REDD projects through an online portal:
http://bassinducongo.reddspot.org
This includes multiple time coverages of SPOT 1-5, (1998 to today) for forest cover mapping and change, with resolutions ranging from 2.5 to 20m.

L'OFAC, en étroite collaboration avec le projet Forest Transparency Initiative du World Resource Institute, et les services nationaux, a compilé de nombreux indicateurs par concession forestière individuelle. Ces indicateurs sont structurés par (i) information générale, (ii) processus d'aménagement, (iii) aspects sociaux, (iv) aspects environnementaux. Visitez la page mentionnée, sélectionnez un pays et une concession pour accéder à toute l'information.
http://www.observatoire-comifac.net/indicators.php?lvl=cncssn

La kényane Wangari Maathai, prix Nobel de la paix en 2004 pour son engagement en faveur de l'environnement, est décédée dimanche à l'âge de 71 ans des suites d'un cancer. Elle s'était beaucoup investie pour la protection du Bassin du Congo, et nous avait fait la surprise de participer au side-event OFAC à la Conférence sur le Climat à Copenhague en 2009 (présentations disponibles sur http://www.observatoire-comifac.net/documents.php)

Cet atlas, produit dans le cadre de l'activité "Forêts d'Afrique Centrale Évaluées par Télédétection (FACET)" est une initiative de l'Observatoire Satellital des Forêts d'Afrique Centrale (OSFAC) pour le suivi des forêts d'Afrique Centrale. FACET est réalisée par OSFAC en collaboration avec l'Université d'Etat de Dakota du Sud et l'Université du Maryland, avec le soutien de l'USAID–CARPE. Le World Resources Institute (WRI) a également contribué à cet atlas. En savoir plus…

Le présent rapport a été préparé comme document d'information pour le Sommet des trois bassins forestiers tropicaux qui se tiendra à Brazzaville, République du Congo, du 31 mai au 3 juin 2011. Il tire parti du travail accompli par le Département des forêts de la FAO et l'Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT), deux organisations internationales spécialisées dans la fourniture d'informations sur ces forêts et la promotion de leur gestion durable. Le secrétariat exécutif de la COMIFAC, OFAC et le Centre Commun de Recherche ont collaboré à la revue et l'amélioration de ce document. Téléchargeable sur…

L’objectif principal de cet atelier de est de permettre aux intervenants et partenaires du secteur forestier du Bassin du Congo de procéder à l’examen et à la validation du rapport « Etat des Forêts 2010 ». Il est également attendu que l’ébauche du rapport EDF 2012 soit dressée au cours de ces importantes assises.

Ce rapport cherche à déterminer si les concessions d'exploitation forestières, en Afrique centrale notamment, peuvent être considérées comme relevant du phénomène d'accaparement des terres à grande échelle. Il formulé également une hypothèse sur le déclin amorcé du système des concessions forestières en Afrique.Le rapport est sur le site de RRI: http://www.rightsandresources.org/publication_details.php?publicationID=2111

La section consacrée à la gestion forestière a été modifiée et contient plus d'informations de synthèse. Visitez la page http://www.observatoire-comifac.net/pages/forestManagement.php

La COP-16 de Cancun a adopté une décision (groupe de travail de coopération à long terme) qui contient des articles importants pour le processus REDD (articles 68 à 79). Document à télécharger http://unfccc.int/files/meetings/cop_16/application/pdf/cop16_lca.pdf

CARPE Lessons Learned Case Study Articles